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Sacrifice, guerre et meurtre : objets de mort en Polynésie (Partie 3)

      Cet article fait suite à Sacrifice, guerre et meurtre : objets de mort en Polynésie parties 1 et 2 que vous pouvez retrouver ici et ici.

« Les récits nous ont rapporté que si les affrontements avaient une grande part de parade et peut-être même un aspect quasi-théâtral, ils avaient comme toutes les guerres, leur part de violence et d’horreur. Malgré cela, et peut-être davantage encore que pour l’ensemble de leurs biens, les Polynésiens ont apportés un tel niveau de raffinement à la fabrication de leurs armes, que l’on peut les considérer comme de véritables œuvres d’art ».1

Armes, mais aussi objets de prestige et œuvres d’art

      Nous l’avons vu avec l’exemple de la massue tongienne apa’apai, cet objet presque entièrement recouvert d’un ensemble de motifs géométriques sur lesquels se détachent des silhouettes végétales, humaines, animales et des cercles représentant le soleil, les armes polynésiennes bien plus que de simples outils de guerre très efficaces sont aussi des marqueurs sociaux qui nous indiquent le rang de leur propriétaire. Ainsi ces productions sont généralement des objets servant à combattre mais qui ont aussi un usage cérémoniel et sont des insignes témoignant du rang de leur propriétaire dans ces sociétés très hiérarchisées. Ce phénomène permet de mieux comprendre le soin apporté à la création de ces instruments de mort, qui témoignent d’un savoir-faire particuliers et de techniques très bien maîtrisées. « Les arts contribuaient à préciser les distinctions sociales et les relations interpersonnelles, certains objets ayant pour rôle essentiel d’être des symboles de prestige, de pouvoir, de position sociale. »2 C’est à cette autre dimension de ces objets que nous allons nous intéresser dans cette dernière partie afin de comprendre que ces armes parce qu’elles sont des objets de prestige qui sont donc le fruit d’un travail particulièrement attentif, sont aussi des œuvres d’art qui sont très tôt rentrées dans les collections occidentales.

      Il faut bien comprendre qu’en Polynésie, les vêtements et les ornements (dont fait partie le tatouage) témoignaient du rang, de la richesse, du prestige et de la sacralité de la personne qui les possédait. Dans cet ensemble de symboles nous pouvons ranger d’un côté toutes les parures que l’on portait sur soi et d’un autre côté toutes les productions que l’on portait à la main et qui étaient des marqueurs de rang et de statut social : « Les chasse-mouches, les éventails et les étendards étaient portés par les hommes et par les femmes. Les bâtons de commandement, d’un travail et d’un fini remarquables, étaient ordinairement portés par les hommes. Ces bâtons de commandement jouaient souvent le rôle d’armes tandis qu’à l’inverse certaines armes étaient portées comme des bâtons de commandement. Les plus belles armes se rencontraient aux îles Cook, où elles étaient sculptées en une suite de croissants ; aux Marquises, où le décor sculpté figurait une succession de têtes humaines conçues de manière à former d’autres têtes ou des visages ; à Tonga et à Fidji, où elles étaient entièrement gravées et incrustées. Quand, dans la période post-européenne, les Fidjiens purent se procurer des fusils, ils les gravèrent comme leur massues, et parfois les incrustèrent d’ivoire. »3

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Mouina, guerrier en chefs des Tayehs, gravure de
Strickland d’après David Porter, vers 1813.

      Nous pouvons très bien voir l’importance de ces objets en tant que marqueurs sociaux  sur  la  gravure de W.Strickland représentant Mouina, guerrier en chefs de Tayehs ; y est représenté un chef guerrier, toa, des Îles Marquises dont le statut et les privilèges sont particulièrement reconnaissables grâce à son apparence, aux parures qu’il revêt et aux objets qu’il porte. En effet nous pouvons voir que son corps est entièrement tatoué de motifs à valeur fortement symbolique qui témoignent de son rang (nous pouvons peut-être discerner des têtes de tikis au niveau des genoux), il porte autour des chevilles et des poignets des ornements faits de cheveux humains probablement ceux d’ennemis qu’il a tué. On peut également voir autour de sa taille une conque percée qui servait de « trompe d’appel », aux oreilles et autour du cou nous reconnaissons des ornements sûrement fait en ivoire marin (dent de cachalot), une plume derrière son oreille et un autre collier autour du cou dont il est difficile de dire en quoi il est fait. Tous ces éléments participent à marquer le prestige social de ce chef guerrier, or nous pouvons voir que dans sa main gauche il tient la massue U’u typique des Îles Marquises, que nous avons étudié précédemment. Nous avons ici un très bel exemplaire où nous retrouvons à nouveau cette stylisation au niveau du sommet, le motif récurrent des têtes de tikis finement gravées qui font écho aux tatouages du chef. De plus nous pouvons voir que la base de cet exemplaire semble être enroulée d’une tresse de fibre de coco dans laquelle sont insérées des plumes où des cheveux humains. Tous ces éléments participent au prestige que confère l’objet à son propriétaire dans cette idée d’emballement qui fait de ces artefacts des véritables constructions symboliques ou chaque élément à son importance.

      À travers ce dernier exemple, nous avons bien compris qu’il ne fallait pas réduire ces armes à leur simple rôle guerrier, bien au contraire elles s’inscrivent parfaitement dans ces sociétés très hiérarchisées et de nombreux autres exemples pourraient nous le démontrer. Ceci explique bien, qu’au même titre que les grandes capes de plumes d’Hawaii, ou que les ornements en néphrite de Nouvelle-Zélande, qu’elles fassent l’objet d’une attention toute particulière durant leur production et leur décoration. Dans son travail sur les Îles Fidji, Hélène Goiran explique très bien cela : « Si l’arme est destinée à un homme riche ou puissant, elle est fabriquée par un artisan spécialisé, le matai-ni malumu. Celui-ci maîtrise les techniques (séchage, trempage, sculpture, huilage), dispose d’outils précis (hachettes en pierre ou bois dur, râpes en corail ou peau de requin, polissoirs en pierre-ponce ou feuillage), connaît les essences et sait même faire évoluer la forme du végétal encore vivant. Un autre artisan ou artiste peut se charger de fabriquer une sparterie et de décorer l’arme. Pour les gravures, il emploie les dents (requin, rat, roussette), des épines d’oursin, fixées sur des manches en bois. (…) Les guerriers qui n’ont pas les moyens de rémunérer le travail d’un matai, et n’ont pas l’occasion de se procurer leur arme par d’autres procédés (héritage d’un parent, remise solennelle par le chef reconnaissant, récupération sur le champ de bataille, etc.), sculptent eux-mêmes leurs casse-tête, comme ils réalisent leurs autres armes et pièces d’équipement. C’est d’ailleurs leur principale occupation en dehors des combats. »4

       Cette citation est particulièrement édifiante car elle nous permet de comprendre à quel point la création de ces armes est une priorité et jusqu’où elle s’ancre dans la hiérarchie de la société. Toutes ces armes font donc preuve d’un très grand raffinement, d’un véritable travail artistique dans le sens où l’entend Alfred Gell, celui de l’intentionnalité, ces objets possèdent bel et bien une force et un pouvoir de fascination.
Nous l’avons vu en effet ces armes ne sont pas de simples morceaux de bois sculptés mais sont également le support d’un décor très raffiné, que ce soit les fines gravures des massues marquisiennes ou tongiennes, le travail très subtil de la néphrite dans les casse-tête maori, etc.IMG_2052

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Pakipaki, massue, Tonga/Fidji, début ou milieu du XIXème siècle, bois, ivoire de baleine, 117 cm, collection privée, ancienne collection James Hooper. Source : HOOPER, S., 2016. FIJI : Art & Life in the Pacific. Norwich, University of East Anglia.

      À travers un dernier exemple nous allons voir la délicatesse de ce travail qui permet de définir ces armes comme véritables œuvres d’art, il s’agit de la massue provenant des Tonga ou des Fidji. Nous pouvons voir ici un très bel objet, variante de la forme apa’apai étudiée précédemment qui est un présent de prestige peut être offert au premier gouverneur des Fidji entre 1875 et 1880, sir Arthur Gordon. On a ici un très beau travail du bois, finement sculpté et gravé en forme de lien rappelant les tresses de fibre de coco à certains endroits. Ajouté à cela cette massue royale possède de très belles incrustations en ivoire de cachalot : on peut y voir seize disques représentant sûrement le soleil, dix croissants, quatre losanges, trois étoiles, deux anneaux et un oiseau. Cette technique est typique des sculpteurs tongiens vivants aux Îles Fidji et montre une fois de plus la beauté de ces objets qui, plus que de simples armes, sont de très belles productions artistiques. Le collectionneur Anthony Meyer associe en ce sens certaines de ces armes aux grands noms de la sculpture moderne : « la beauté du casse-tête et maintenant admise et on regarde ces outils de la mort comme des chefs-d’œuvres de formes et de beauté plastiques égales aux réalisations de Brancusi, Lipschitz, Gonzales, Moore, Giacometti ou Epstein ».5

       C’est pour les raisons vues précédemment que les armes polynésiennes sont rentrées très tôt dans les collections occidentales. Elles ont été parmi les premiers objets échangés aux navigateurs occidentaux contre toutes les productions inconnues et attirantes qu’ils emmenaient dans leurs bateaux. Ces armes, et particulièrement ces massues, sont considérées par les navigateurs comme de véritables trophées qu’ils rapportent de leurs expéditions au bout du monde car ils illustrent parfaitement les dangers qu’ils ont encourus pour rencontrer ces peuples inconnus. Guiot et Stéfani nous expliquent que : « Lorsqu’au retour du troisième voyage de Cook, les navires font escales le 22 août 1780 à Stromness aux îles Orcades, l’équipage remet aux habitants quelques massues de Polynésie occidentale lesquelles aujourd’hui font la fierté du petit musée local, exemple précoce d’un type de collection qu’on retrouve ensuite dans toutes les institutions d’Europe et d’Amérique et qui subsiste encore parfois sans son foisonnant et peu lisible arrangement d’époque. »6

      Dès les premiers temps de la colonisation se forment donc de véritables panoplies d’armes polynésiennes qui arrivent dans les collections occidentales. De plus, nous l’avons vu ces productions sont pour les Polynésiens de véritables objets de prestige ce qui explique également le fait que de très beaux objets ont été offerts en signe de respect aux Occidentaux arrivant en Polynésie. Nous l’avons vu avec l’exemple de la très belle massue incrustée d’ivoire marin offerte à sir Arthur Gordon, premier gouverneur des Fidji, cela peut être confirmé par un très beau cadeau de Cakobau, grand chef fidjien à la Reine d’Angleterre Victoria. En effet, ce dernier lui a remis en 1874 une de ses massues appelée Tutuvikuta i Radibau ce qui peut être traduit par « natte de la reine de Bau » (ceci évoque le sang des ennemis tués qui recouvre le chef comme une natte lors des combats). En prévision de ce don, il a d’abord fait envoyer sa massue à Sydney pour qu’elle soit incrustée de motifs d’argent faisant d’elle une massue cérémonielle. Par ce don il admet sa soumission à la couronne britannique et à sa loi lors de la cession de l’archipel au Royaume-Uni, le 10 octobre 1874.7 Il n’est donc pas rare de trouver des armes polynésiennes dans les collections occidentales ; on compte par exemple environ 200 exemplaires de massues U’u des Îles Marquises.

    Ces productions reçoivent ainsi un véritable succès auprès des Occidentaux, phénomène qui induit une demande beaucoup plus élevée que l’offre disponible. On assiste alors à une production de masse liée à un faux vieillissement de ces armes polynésiennes ce qui fait qu’un bon nombre de pièces médiocres et de piètre qualité rentre à cette époque dans les collections. Cependant à travers les exemples que nous avons étudiés nous pouvons voir qu’il existe également de très belles pièces, prestigieuses et précieuses qui, témoins de ces modèles raffinés, sont le fruit d’un travail particulièrement délicat et soigné.

       Cette dernière partie nous a permis de bien comprendre la pluralité de ces objets qui s’inscrivent dans un contexte bien particulier : celui des sociétés polynésiennes. S’ils ont avant tout une fonctionnalité particulière et généralement guerrière qui peut se lire à travers leur nom, ou leur forme qui comme nous l’avons vu sont très variés, ce sont aussi des objets au caractère social fort et à la beauté étrange et magistrale. Ces objets n’étaient donc absolument pas anodins pour leurs créateurs et leurs utilisateurs ce qui explique parfaitement le caractère si particulier de ces productions.

       Ces dernières décennies la vogue inouïe pour les arts d’Afrique et d’Océanie a fait de ces armes de véritables objets de collections : « Cette pénurie a contraint le marchand et le collectionneur à se rabattre sur des objets encore naguère qualifiés d’ethnographiques (c’est-à-dire dépourvus de valeurs esthétiques et surtout à faible valeur marchande) parmi lesquels figurent un bon nombre de massues, lesquelles du rang peu enviable de quasi « rossignols » se sont vues propulsées à celui de sculpture à part entière et sont passées de l’arrière-boutique à la devanture de la galerie. »8 Nous comprenons bien que malgré les différences de pensées et de perception du monde existantes entre Polynésiens et Occidentaux ces « instruments de la mort » sont définitivement perçus comme des objets à forte charge esthétique, chargés de prestige et de puissance. La fonction première de ces objets est véritablement dépassée et nous pouvons donc bien parler d’art de la guerre pour qualifier ces créations polynésiennes.

« Façonner des armes était un art prestigieux, et il fallait parfois des années pour en parfaire certaines. Le « mana », dont était investie une arme profitait autant à celui qui s’en servait qu’à celui qui en était l’artisan. »9
« Ces choses étaient fabriquées pour remplir une fonction, pour produire des effets dans le monde – et c’est toujours le cas. »10

      À travers cet exposé, nous avons donc tenté de faire une étude la plus complète possible des « objets de mort » Polynésien. Pour comprendre comment les peuples polynésiens appréhendaient ces armes et la place qu’elles tenaient dans leurs sociétés, il était nécessaire dans un premier temps de revenir sur les spécificités de ce territoire géographique qui interpelle par le nombre d’îles qu’il contient mais aussi par les liens culturels qui les unissent les uns aux autres. Nous avons vu que derrière une image galvaudée de ces sociétés nous trouvions des peuples où la guerre est omniprésente et où les armes jouent un rôle essentiel.
Dans un second temps grâce à plusieurs exemples édifiants nous avons vu qu’une des caractéristiques essentielles de ces productions était leur variété : aussi bien en ce qui concerne leur forme, que leur matériau et les techniques utilisées pour les créer ou leur iconographie. Cette multiplicité se retrouve fréquemment dans leurs noms qui renvoient souvent à leur matériau d’origine, où à leur usage… L’une des informations essentielles de cette partie est le rôle de l’iconographie : en effet nous avons vu que les Polynésiens portaient un soin particulier à décorer ces armes, soit par la gravure de motifs propres à chaque archipel, soit par l’incrustation d’autres matériaux. Cette attention permet de faire le lien avec notre dernière partie car c’est à travers elle que ces armes acquièrent toute leur valeur symbolique.

         En effet les notions d’emballement et d’ornementation sont essentielles en Polynésie car elles sont en lien direct avec la puissance et le prestige. Ces enveloppes qui entourent les armes ne sont pas simplement décoratives, elles sont avant tout une preuve concrète de la puissance et du prestige de leur propriétaire en ce sens où elles témoignent du travail accompli sur ces objets. L’ajout de matériaux précieux comme la néphrite, l’haliotis où l’ivoire marin s’inscrit dans cette logique.
Grâce à ces informations nous avons pu dans une dernière partie nous intéresser aux autres dimensions de ces objets qu’il ne faut pas réduire à leur rôle guerrier. Ils sont le fruit d’un travail particulier opéré par des artisans spéciaux et deviennent ainsi des objets de prestige dans des sociétés très hiérarchisées. Parallèlement, ces objets sont donc devenus, aux yeux des occidentaux, de véritables œuvres d’art qui reflètent parfaitement le savoir-faire polynésien.

       Pour conclure cette étude nous pouvons donc insister sur cette pluralité des créations océaniennes qui reflètent parfaitement la complexité des sociétés qui les ont produites. En effet nous ne devons pas nous arrêter sur les premières impressions que nous pourrions avoir face à ces armes sous peine de les réduire à leur rôle guerrier. Nous avons vu que bien plus que cela, elles ont un rôle puissant et essentiel dans la hiérarchie polynésienne. Dans ces sociétés où religion, politique, économie et vie sociale ne fonctionnent pas séparément, chaque production doit être englobée dans un ensemble de considérations culturelles et rituelles afin d’être comprise dans sa totalité.

Pierre Mollfulleda

Image à la une : Back wall of the dining room at Government House, with weapons, paddles, yaqona bowls, pottery and portable spirit houses displayed in front of a large gatu vakaviti barkcloth. Photographed by F.H. Dufty, Nasova, Ovlau Island, c. 1875. Fiji.

HIRIATA,  M.,  dir.,  2001.  Les  collections du Musée de Tahiti et des îles. Tahiti, Papeete, p. 82.

KAEPPLER, A. L., KAUFMANN C., NEWTON, K., 1993. L’art océanien. Paris, Citadelles & Mazenod, p. 26.

KAEPPLER, A. L., KAUFMANN C., NEWTON, K., 1993. L’art océanien. Paris, Citadelles & Mazenod, p. 110.

GOIRAN, H., 2008. « Les armes traditionnelles fidjiennes : art de la guerre et art de l’objet », In : XXe Colloque CORAIL, Objets d’art et art de l’objet, Nouméa, p. 73.

MEYER, A. J.-P., 1989. Casse-tête Armes et armements de l’Océanie une exposition, p. 7.

GUIOT, H., STÉPHANI, C., 2002. Les objets océaniens, série polynésienne. Chartres, Musée des Beaux-Arts, pp. 12-13.

7 L’histoire nous est racontée dans GOIRAN, H., 2008. « Les armes traditionnelles fidjiennes : art de la guerre et art de l’objet », In : XXe Colloque CORAIL, Objets d’art et art de l’objet, Nouméa, p. 73.

GUIOT, H., STÉPHANI, C., 2002. Les objets océaniens, série polynésienne. Chartres, Musée des Beaux-Arts, pp. 12-13.

9 MEYER, A. J.-P., 1996. Art Océanien. Köln, Könemann, p. 458.

10 HOOPER, S., 2008. Polynésie, arts et divinités, 1760-1860. Paris, Réunion des musées nationaux, musée du Quai Branly, p. 24.

Bibliographie :

  • GOIRAN, H., 2008. « Les armes traditionnelles fidjiennes : art de la guerre et art de l’objet », In : XXe Colloque CORAIL, Objets d’art et art de l’objet, Nouméa.
  • GUIOT, H., STÉPHANI, C., 2002. Les objets océaniens, série polynésienne. Chartres, Musée des Beaux-Arts.
  • HIRIATA,  M.,  dir.,  2001.  Les  collections du Musée de Tahiti et des îles. Tahiti, Papeete.
  • HOOPER, S., 2008. Polynésie, arts et divinités, 1760-1860. Paris, Réunion des musées nationaux, musée du Quai Branly.
  • KAEPPLER, A. L., KAUFMANN C., NEWTON, K., 1993. L’art océanien. Paris, Citadelles & Mazenod.
  • MEYER, A. J.-P., 1989. Casse-tête Armes et armements de l’Océanie une exposition.
  • MEYER, A. J.-P., 1996. Art Océanien. Köln, Könemann.

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