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George Nuku : Message in a Bottle

 

Fin du XVème siècle :
Les Occidentaux « découvrent » l’Amérique. Ce Nouveau Monde devient celui de tous les fantasmes. Les récits des marins et autres chanceux partis à sa rencontre alimentent un nouvel imaginaire. Celui-ci décrit un monde riche et fertile. Mais il est aussi peuplé d’individus dont on questionne l’humanité et d’étranges chimères aux yeux du Vieux Monde. 

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Tous les sarcophages n’abritent pas des pharaons

        Les bombes nucléaires américaines tombèrent sur les villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki le 6 et le 9 août 1945. Elles sonnèrent le glas de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), mais ouvrirent la voie à la Guerre froide (1947-1991) dont les deux protagonistes majeurs furent les États-Unis (E.-U.) et l’URSS. Entre 1945 et 1961, ces deux camps menèrent de nombreuses expérimentations dans le but de détenir en premier la bombe atomique la plus puissante. C’est dans ce contexte que les États-Unis engagèrent, de 1946 à 1958, une soixantaine d’essais nucléaires sur plusieurs atolls des Îles Marshall, archipel micronésien sous le joug américain suite à la victoire des Alliés et ce jusqu’à son indépendance en 1986 1.
CASOAR vous propose aujourd’hui de revenir sur l’une des ruines de ces expériences, le dôme de Runit, situé sur l’atoll d’Enewetak (chaîne de Rālik, République des Îles Marshall, RIM). Voir plus

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La pêche à la nacre dans la culture maori

      Les enfants que nous avons été ou sommes toujours se souviennent certainement de la beauté saisissante de la nacre habitant les coquillages de nos plages, lors des chasses rituelles qui ne manquaient jamais d’advenir lors de vacances à la mer. Rose, verte, blanche lunaire ou opaline, cette nacre est toujours synonyme d’une iridescence qui attire le regard lorsqu’on l’aperçoit du coin de l’oeil. Cette nacre européenne est pourtant bien pâle en comparaison de la nacre bleue prisée par les habitants d’Aotearoa, les biens connus Maori de Nouvelle-Zélande. Voir plus

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L’art aborigène contre les filets fantômes : interview de Stéphane Jacob sur les sculptures Ghostnets

     Stéphane Jacob est à la tête de la galerie Arts d’Australie – Stéphane Jacob. (http://www.artsdaustralie.com/) Il a gracieusement accepté de me recevoir dans son appartement à Paris, qui est aussi son lieu de travail. J’ai hâte d’échanger avec lui au sujet des fascinantes sculptures ghostnets en filet de pêche, qui lient à la fois le monde de l’art aborigène et la défense de la faune marine. Nous commençons l’interview. Voir plus