Jeudi 27 septembre 2018, 10h00. J’arrive à la Royal Academy pour une journée de symposium autour de l’exposition Oceania qui se déroule du 29 septembre au 10 décembre 2018 à Londres. Cette journée est l’occasion de ma première visite de l’exposition événement, mais pas la seule. J’y suis retournée le dimanche 14 octobre afin de la redécouvrir, accompagnée de mes fidèles collègues et amis de CASOAR. Voir plus
La collection d’art océanien d’Elizabeth Pryce : résultats
Le 10 octobre dernier, avec près d’un million d’euros, la collection d’art océanien d’Elizabeth Pryce a remporté un grand succès chez Sotheby’s France. 100% des 150 lots proposés ont trouvé acquéreur, faisant de cette session une nouvelle vente en gants blancs après la dispersion de la collection Frum en 2014. Voir plus
Politique écologique : les îles Palau montrent la voie
« Par dessus tout, les peuples de Micronésie partagent une compréhension commune de notre unité avec la terre et de nos liens avec nos voisins. Nous sommes engagés envers nos îles, nos peuples, et notre héritage culturel. »1 Voir plus
Martine chez les cannibales : réponse au Point
« La seule question que puisse se poser l’ethnologue est de savoir ce qu’est le cannibalisme (dans la mesure où il est quelque chose) non pas en soi ou pour nous, mais pour ceux-là seuls qui le pratiquent. »1
La Biennale de Paris et Parcours des Mondes dans l’œil du galeriste Anthony Meyer
Le mois de septembre amène avec lui deux des plus gros évènements de l’agenda artistique parisien : la Biennale de Paris au Grand Palais, du 8 au 16 septembre 2018, et Parcours des Mondes, dans le quartier des Beaux-Arts à Saint-Germain-des-Prés, du 11 au 16 septembre 2018. À ces occasions, Casoar a rencontré l’un des acteurs majeurs de ces deux évènements, le galeriste d’art océanien et eskimo Anthony Meyer, que vous pouvez retrouver dans sa galerie au 17, rue des Beaux-Arts, dans le 6ème arrondissement parisien, ou sur son site : http://www.meyeroceanic.art/ Voir plus
La collection Elizabeth Pryce arrive à Paris
Qui est Elizabeth Pryce ?
Elizabeth est une pharmacienne australienne qui a découvert les arts d’Afrique et d’Océanie il y a plusieurs années en voyant un masque africain chez un couple d’amis. À partir de ce moment-là, elle a commencé à fréquenter les galeries australiennes, les salles de vente… et à former sa collection d’art Océanien. Voir plus
Ballade entre les bulles d’Hugo Pratt
« Je suis l’océan Pacifique et je suis le plus grand de tous les océans. On m’appelle ainsi depuis très longtemps, mais ce n’est pas vrai que je suis toujours pacifique. Je me fâche parfois, et alors je donne une raclée à tous et à tout. Là, par exemple je viens de me calmer après un gros coup de sang. Mais hier, j’ai sans doute balayé trois ou quatre îles et autant de coquilles de noix que les hommes appellent bateaux… celle-ci… oui, celle que vous voyez ici, je ne sais pas comment elle a pu s’en sortir. C’est peut-être parce que le capitaine Raspoutine connaît son métier et que ses marins viennent des îles Fidji. Ou bien parce qu’ils ont fait un pacte avec le diable. Mais cela n’a pas d’importance. Aujourd’hui c’est « Tarowean », le jour des surprise, jour de tous les saints, le 1erNovembre 1913. »1 Voir plus
L’art océanien aux enchères : fin de saison – Printemps 2018
Avec ses trois ventes new-yorkaises et parisiennes c’est au total cinquante-deux œuvres d’art Océanien que Sotheby’s a proposé sur le marché entre mai et juin 2018. Avec 83 % de pièces vendues, le succès des arts Océanien en vente publique s’est donc encore confirmé lors de ces trois sessions. Voir plus
L’art aborigène contre les filets fantômes : interview de Stéphane Jacob sur les sculptures Ghostnets
Stéphane Jacob est à la tête de la galerie Arts d’Australie – Stéphane Jacob. (http://www.artsdaustralie.com/) Il a gracieusement accepté de me recevoir dans son appartement à Paris, qui est aussi son lieu de travail. J’ai hâte d’échanger avec lui au sujet des fascinantes sculptures ghostnets en filet de pêche, qui lient à la fois le monde de l’art aborigène et la défense de la faune marine. Nous commençons l’interview. Voir plus
« Le magasin des petits explorateurs » : les clichés meurent aussi
Tarzan, Tintin et un scout sont sur un bateau… Cela pourrait être le début d’une comptine pour enfant. C’est également le pari de la dernière exposition du musée du Quai Branly qui entend explorer la constitution de l’imaginaire enfantin sur l’Autre de la fin du XVIIIe siècle à nos jours. À la barre, Roger Boulay, Julien Bondaz et Jean-Yves Belfis nous entraînent dans « les cavernes de la mémoire »1 à bord d’un vaisseau aux allures de vide grenier. Voir plus