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Jack London dans les mers du Sud : le Pacifique débarque à Marseille !

        L’exposition qui se tient au centre de la vieille charité à Marseille du 8 septembre 2017 au 7 janvier 2018 est une collaboration entre le Musée d’Arts Africains, Océaniens et Amérindiens de Marseille (MAAOA) et la Compagnie des Indes, qui entendent faire « revivre le souffre de l’aventure maritime et la magie des rencontres ».1

      L’affiche évoque le voyage, le mystère et la navigation. C’est un peu cette ambiance que l’on retrouve en pénétrant dans l’espace d’exposition. Murs bleu vert profond, mobilier scénographique en lattes de bois sombre, lumières dosées. La lumière est juste, réussissant l’exploit (c’est un reproche tellement fréquent dans les livres d’or d’expositions qu’il convient de le souligner) d’allier lisibilité des cartels, mise en valeur et préservation des objets, et création d’une ambiance.
L’exposition retrace le voyage de Jack London, sa femme Charmian, et leurs coéquipiers (l’équipe fluctua tout au long de l’aventure) à bord du Snark. Entre 1907 et 1909, ils parcoururent 14 500 km à bord du deux-mâts de 17 mètres, traversant un océan et sept archipels.

      Le parcours s’articule autour des différents archipels et îles traversés: Hawaï, les Îles Marquises, les Îles de la Société, l’archipel des Fidji, les Samoa, le Vanuatu, les Îles Salomon. La matière de l’exposition est hétéroclite. On y présente des artefacts provenant des îles que visite l’équipage, plus comme éléments d’ambiance que comme supports de discours. Ces objets n’ont d’ailleurs souvent aucun rapport avec Jack London, à l’exception d’une vingtaine de pièces, rapportées par l’auteur et issues de sa collection personnelle. Il s’agit néanmoins d’objets emblématiques des lieux visités, tels un casque mahiole d’Hawaï, une massue U’u des Marquises, une figure To’o tahitienne, un tapa samoan. Aux objets océaniens s’ajoutent du matériel de voyage du couple (telle la machine à écrire minimaliste sur laquelle Charmian recopiait les brouillons manuscrits de son mari), des éditions originales des ouvrages que le voyage dans les mers du Sud a inspirés à Jack London (tel Martin Eden, roman pour partie autobiographique écrit entre Hawaï et Tahiti), et beaucoup de très belles reproductions des photographies d’archives du couple (conservées dans le Ranch des London, à la Huntington Library de San Marino, ou aux Parcs de Californie) – qui constituent une rare occasion de découvrir l’œuvre de reporteur-photographe de Jack London. De jolies cartes très claires permettent aux visiteurs de se situer dans les vastes étendues du Pacifique, et même de connaître plus précisément les îles de chaque archipel. Le récit de l’odyssée mis en espace par les commissaires de l’exposition est émaillé de citations issues du journal de bord de Jack London, ouvrant des fenêtres sur les émerveillements et les angoisses du voyageur.

    Ceux qui espèrent en apprendre davantage sur les sociétés de Polynésie et de Mélanésie seront déçus. Ce sont moins les cultures de ces différents archipels que le regard que portent sur eux un écrivain et son époque qui sont mis en avant. On ne s’appesantit d’ailleurs pas non plus sur Jack London, sa vie, son œuvre. Après une rapide biographie et une présentation de son mariage avec Charmian, on embarque immédiatement pour les préparatifs du voyage. C’est ce voyage (plus que Jack London lui-même) le vrai sujet de l’exposition. Dans quelles conditions il s’est déroulé, que dit-il de son époque, quelle en a été la postérité, quelle matière littéraire en a tiré l’écrivain. C’est pourquoi, au sein du parcours chronologique adopté par les commissaires, le CASAOR a choisi de s’attarder sur trois thématiques distillées tout au long de l’exposition et qui lui semblent particulièrement intéressantes.

Le rêve polynésien : un imaginaire durable

       Jack London a toujours été marin : « À 12 ans, j’ai entendu l’appel de la mer. À 15 ans, j’étais capitaine et propriétaire d’un sloop pirate avec lequel je pillais les bancs d’huitres [perlières, ndlr]. À 16 ans, je naviguais […] traquant le saumon avec les pêcheurs grecs de la rivière de Sacramento ».L’exploit de Joshua Slocum, auteur du premier tour du monde en solitaire à la voile en 1898, le marque profondément. Jack London est fasciné par le récit du navigateur, et par l’injonction qu’il fait à la jeunesse de suivre son exemple. Jack et Charmian imaginent alors ensemble un tour du monde de sept ans, bien qu’aucun membre de l’équipage ne soit marin de métier.
La construction du bateau, nommé Snark en hommage à un poème de Lewis Carroll décrivant un animal fantastique, démarre en 1906. Retardés dans leur départ suite au tremblement de terre de 1906 qui détruit la ville, les London quittent finalement San Francisco le 23 avril 1907.

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Jack et Charmian London à bord du Snark, îles Samoa, 1908.
© Courtesy of Jack London Papers, The Huntington Library, San Marino, California

       L’équipage embarque donc initialement pour un véritable tour du monde, et reste un an et demi dans le Pacifique. À la fin du XIXème siècle, c’est une région du monde qui attire bon nombre d’artistes, d’intellectuels et d’aventuriers. Paul Gauguin, les écrivains Pierre Loti, Robert Louis Stevenson ou Herman Melville, le poète et ethnologue Victor Segalen font tous plus ou mois escale dans les mêmes lieux, enchantés par les récits qu’en ont faits les voyageurs célèbres avant eux. Ce n’est pas un hasard si des ouvrages d’Herman Melville, Robert Louis Stevenson ou de Joseph Condat accompagnent l’équipage du Snark durant la traversée. Ainsi, le Snark aborde en décembre 1907 Nuku Hiva (Îles Marquises), que Jack London rêve de visiter depuis qu’il a lu, enfant, le roman Taïpi d’Herman Melville.Ces destinations récurrentes sont aussi un moyen pour ces aventuriers de marcher dans les pas de leurs prédécesseurs, constituant en quelque sorte des pèlerinages intellectuels. En témoigne la démarche commémorative que font Charmian et Jack London en se rendant sur la tombe de Robert Louis Stevenson, auteur de l’île au Trésor, sur l’île d’Upolu (Samoa). C’est ici que cet autre écrivain voyageur, après avoir visité les Marquises, les Tuamotu, Tahiti et les Îles Gilbert s’est installé et qu’il est mort. Très respecté par ses contemporains samoans, il a pris fait et cause pour eux, et les London se montrent très émus sur sa tombe.

     En découvrant les îles paradisiaques de Polynésie qui servaient de décors aux récits ayant bercé son imaginaire, Jack London découvre aussi leurs habitants, dont il fait partout l’éloge de la beauté et de la gentillesse. Le couple est invité à plusieurs cérémonies, telle une pêche aux cailloux à Bora Bora, et pratique même le surf à Hawaï. À Raiatea, ils rencontrent Tehei, originaire de l’île voisine de Tahaa, qui les invite sur sa pirogue, et bientôt chez lui. Jack et Charmian London semblent rencontrer en tout lieu cette « hospitalité polynésienne »4, décrite avant eux par le missionnaire William Ellis en 1829, cité en ouverture du chapitre consacré à cet épisode  dans  La Croisière du Snark :  « À l’arrivée d’un étranger, chacun s’évertue à gagner son amitié. On le conduit chez soi, et là, tout le monde lui témoigne une grande bienveillance ».5

      Cette vision onirique du Pacifique, et particulièrement de la Polynésie, qui, depuis le XVIIIème siècle, nourrie l’image d’un paradis perdu dans l’imaginaire occidental, est éloignée de la réalité de ce début de XXème siècle. L’exposition permet ainsi de confronter l’idéal littéraire qui habite des aventuriers comme London à un contexte colonial beaucoup plus dur.

Un voyage aux confins des empires coloniaux

      Jack London et ses coéquipiers sillonnent le Pacifique à un moment charnière de son histoire. Les sociétés qu’ils y rencontrent sont « en profonde mutation, du fait de la colonisation, du développement du commerce et des transports maritimes, et de l’action des missionnaires ».Si Jack London arrive et demeure dans les mers du Sud plein d’enthousiasme, il ne s’en montre pas moins un observateur attentif de la réalité du terrain.

      Hawaï, où la monarchie a été renversée en 1893 par un coup d’état d’industriels et de planteurs, désireux de protéger davantage leurs intérêts, est annexée par les États-Unis cinq ans plus tard. Jack London y découvre un état tout récemment devenu territoire américain (1900) où il côtoie principalement l’élite anglo-saxonne, dont certains acteurs du coup d’état ayant renversé la royauté hawaïenne. Bien que passant la plupart de son temps en compagnie de cette minorité de privilégiés, il s’avère pourtant sensible au sort des autres populations de l’archipel – Japonaise, Chinoise, Portugaise et bien sûr Polynésienne. Dans plusieurs de ses écrits, il est très critique vis-à-vis de l’élite blanche : « Ils vivent comme des rois dans des maisons aux nombreuses pièces, servis par une multitude de domestiques. Ceux qui n’avaient rien possèdent tout, et si […] n’importe quel indigène [souffre] de la faim, ils disent en ricanant : « Eh bien ! Pourquoi ne travailles-tu pas ? Les plantations sont là ». »7

     La situation politique de plusieurs des archipels abordés par l’équipage du Snark témoigne en outre des rivalités entre les puissances coloniales européennes qui se sont jouées dans le Pacifique tout au long du XIXème siècle. C’est le cas du Vanuatu, devenu condominium franco-britannique l’année où Jack London entreprend son voyage, ou de l’archipel des Salomon, protectorat britannique à l’exception des îles de Buka et Bougainville, sous hégémonie allemande. C’est le cas également des Samoa, enjeu de domination coloniale entre l’Empire germanique, la Grande-Bretagne et les États-Unis à la fin du XIXème siècle, et qui font l’objet d’un partage entre l’Allemagne et les États-Unis à partir de 1899. Ainsi, Jack London y visite à la fois la base militaire américaine de Pago Pago, et le site d’Apia, important lieu du commerce allemand.

     Plus dramatique encore est la situation aux Marquises, intégrées aux Établissements Français d’Océanie depuis le milieu du XIXème siècle. La déception qu’éprouve Jack London en y accostant est un triste témoignage de la situation sanitaire qui fut celle de beaucoup d’îles du Pacifique sud : les guerriers marquisiens décrits dans le récit de Melville ont été décimés par la tuberculose – les London ne rencontrent que douze survivants, ayant contracté la lèpre ou souffrant d’éléphantiasis, là où Hermann Melville, soixante ans plus tôt, dit avoir vu plus de deux mille guerriers vigoureux.

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Le Snark dans la baie de Taiohae, Nuku Hiva, Îles Marquises, 1907.
© Courtesy of Jack London Papers, The Huntington Library, San Marino, California

      En Mélanésie, dans l’archipel des Salomon, c’est pour leur propre santé que craignent les habitants du Snark. « Si j’étais roi, j’exilerais mes pires ennemis aux Îles Salomon. » écrit Jack London.Le malaise qu’inspirent à London les Salomon, décrites comme des îles « cannibales » à « la frontière la plus primitive du monde »9, est tout à fait représentatif des sentiments que nourrissent les occidentaux vis-à-vis de cet archipel dans les décennies marquant la fin du XIXème siècle et le début du XXème. Les Îles Salomon, devenues protectorat britannique en 1893, sortent alors de deux décennies de violente répression au cours desquelles les Britanniques mirent fin à des pratiques culturelles comme celle de la chasse aux têtes. La région est aussi en proie au fléau des Blackbirders 10, véritables outils d’asservissement des populations mélanésiennes, qui étaient kidnappées ou « recrutées » de force puis envoyées sur les plantations de canne à sucre. Jack et Charmian London, embarqués à bord d’un de ces slave-ship pour assister à une campagne de « recrutement » à Malaïta, se retrouvent encerclés de guerriers en réponse à l’incendie de plusieurs villages par les recruteurs.

      On voit comment, à l’opposé du paradis polynésien, la Mélanésie représente pour les Occidentaux un environnement hostile, tant sur le plan humain, puisque l’administration coloniale y est peu implantée, que sur le plan sanitaire. Jack London constate : « Une piqûre de moustique, une coupure, la moindre écorchure servent de refuge au poison dont l’air semble imprégné. Aussitôt l’ulcère se met à ronger la chaire en tout sens, consumant la peau et les muscles avec une rapidité foudroyante ».11 La santé de l’équipage devenant très préoccupante, l’aventure s’arrête en décembre 1908 lorsqu’on quitte Sydney où Jack London était hospitalisé d’urgence.

La croisière du Snark : matière littéraire et documentaire

      L’épopée du Snark est directement liée à la carrière d’écrivain et de journaliste de Jack London. Pour financer la couteuse construction du navire, puis l’expédition, l’auteur négocie des avances sur droits avec ses éditeurs. Le récit du voyage, initialement sous forme de feuilletons, doit être envoyé aux éditeurs à chaque étape (il est ensuite compilé dans l’ouvrage La Croisière du Snark (The Cruise of the Snark)), mais on attend également de lui des photographies et des romans. On profite en outre de sa présence dans ces lieux éloignés des administrations centrales pour lui commander des articles, comme le fait le Bureau de la santé à Hawaï, pour lequel London rédige un reportage sur la communauté lépreuse de l’île de Molokai, dans le but de faire évoluer le regard sur la maladie. À la fin du chapitre VII de The Cruise of the Snark, London enjoint même ses lecteurs à faire des dons pour les recherches sur le bacille de la lèpre.

      En parallèle de ces articles journalistiques et du récit du voyage, Jack London puise dans son aventure la matière littéraire de plusieurs textes. L’œuvre de London est largement inspirée de ses expériences personnelles, que ce soit la ruée vers l’or dans le Klondike canadien pour Croc-Blanc, le Fils du Loup, et L’Appel de la Forêt, ou son engagement socialiste dans Le Talon de Fer. De même, son voyage dans le Pacifique marque durablement son œuvre, dans des ouvrages comme Contes des Mers du SudFils du Soleil, Jerry Chien des Îles. Dans l’exposition est développé l’exemple de L’Aventureuse (Adventure), roman qui prend pour cadre une plantation de noix de coco très semblable à la plantation Penduffryn, sur l’île de Guadalcanal (Salomon), où Charmian et lui séjournent quelque temps dans un climat tendu de révolte larvée.
La croisière sur le Snark est aussi l’occasion pour Charmian London d’écrire son propre journal de bord (The Log of the Snark), publié en 1915, et d’offrir une vision parallèle à celle de Jack. Après le décès de son mari, elle publie encore plusieurs récits sur leur attachement aux îles du Pacifique, et notamment à l’archipel d’Hawaï où ils retournent dans les dernières années de la vie de Jack London (The Book of Jack London, Our Hawaii, The New Hawaii).

      Mis à part le couple London, seul un autre membre de l’équipage a effectué la totalité de la croisière : Martin Elmer Johnson. Cuisinier, puis mécanicien à bord du Snark, il publie également son propre récit du voyage (Through the South Seas with Jack London). Il exploite par la suite son statut d’aventurier pour gagner sa vie, donnant des conférences sur les mers du Sud au cours desquelles il présente photographies et « curiosités » ramenées du voyage, et s’accompagne d’artistes féminines (dont sa femme Osa) qui chantent et dansent des compositions d’inspiration « hawaïenne ». Le nom de Jack London est aussi largement exploité, ce qui à plusieurs reprises créera des tensions entre deux. Johnson créé en 1916 la Martin Johnson Film Co., une société de production cinématographique, dans le but de réaliser des images sur les  « cannibales » de Mélanésie. Si les intentions premières de Johnson sont de produire un film sensationnel destiné à faire fructifier son fonds de commerce, la valeur documentaire de ces tout premiers films ethnographiques tournés aux Salomon et aux Nouvelles-Hébrides (actuel Vanuatu) est grande.

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Dispositif muséographie présentant plusieurs affiches des films de Johnson,
MAAOA, Marseille, 2017. © Photographie : Margot Duband

     Cette section sur l’après-Snark, présentant la fin de la vie de Jack London et la postérité de l’expédition dans le Pacifique, se tient dans la chapelle de la Vieille-Charité. On peut ainsi voir, dans le chœur de l’édifice, cinq sculptures d’Océanie issues des collections du MAAOA se dresser vers la coupole. Il reste, comme dernière impression de l’exposition, la vision de l’immense tirage photographique d’un poteau cérémoniel Ugi des Salomon ramené par London, sous lequel est écrit cet épilogue : « Cette vieille idole continuera à ricaner quelque part chez moi jusqu’à ma mort. De nous deux c’est elle qui gagnera la partie, car elle rira la dernière ».12

      Jack London dans les Mers du Sud est une belle exposition qui donne à voir, à travers les péripéties d’un écrivain, un panorama du Pacifique à l’aube du XXème siècle. Si elle ne permet pas à proprement parler de découvrir « la diversité culturelle des peuples du Pacifique Sud »13 comme nous le promet le MAAOA14, elle présente un intéressant état des lieux du contexte politique, colonial et intellectuel d’alors – ce qui n’est pas forcément l’angle d’approche le plus généralement retenu lorsqu’on expose l’Océanie – et offre une sélection d’objets variés qui permettent de s’imprégner de l’esthétique des archipels qui jalonnent le voyage de Jack London. Elle comblera les passionnés de navigation, les océanistes chevronnés ou non, les friands d’aventure, les rêveurs, les fans de Jack London, et même ceux qui préfèrent Moby Dick ou L’Île au Trésor à Croc-Blanc. 

Margot Duband 

Image à la une : Vue de l’exposition Jack London dans les Mers du Sud, section consacrée aux Marquises, MAAOA, Marseille, 2017. © Margot Duband

Jack London dans les Mers du Sud, plaquette d’aide à la visite, Centre de la vieille charité.

LONDON, J., 2002. « Joies de la plaisance », en annexe à La Croisière du Snark. Rennes, éditions Ouest France. P. 468-469.

L’auteur de Moby Dick.

Texte de salle de la section sur les Îles de la Société.

LONDON, J., 2006. La Croisière du Snark. Paris, Phébus. P. 166.

Texte de salle introduisant l’exposition.

LONDON, J., 2007. « Koolau le Lépreux »In Histoire des Îles. Paris, Phébus. P. 50.

LONDON, J., 2006. La Croisière du Snark, op.cit., p. 233.

Citation de Jack London mise en exergue dans l’exposition.

10 À bord de goélettes, des trafiquants sillonnaient la région dans le but de pourvoir en mains-d’œuvre les plantations de Mélanésie et d’Australie.

11 Jack London, La Croisière du Snark, citation présentée dans l’exposition.

12 Jack London, La Croisière du Snark, Citation présentée dans l’exposition.

13 Jack London dans les Mers du Sud, plaquette d’aide à la visite, Centre de la vieille charité.

14 Jack London dans les Mers du Sud, plaquette d’aide à la visite, Centre de la vieille charité.

Bibliographie :

  • Jack London dans les Mers du Sud, plaquette d’aide à la visite, Marseille, Centre de la vieille charité.
  • Jack London dans les Mers du Sud. L’odyssée du Snark, 1907-1908, cat. Exp., Marseille, Musée d’Arts Africains, Océaniens, Amérindiens, 2017-2018. Paris, Edition de La Martinière, 2017.
  • JOHNSON, M., 1913. Through the South Seas with Jack London. Londres, T. Werner Laurie.
  • LONDON, C., 2015. Journal de b.ord du Snark. Paris, Arthaud.
  • LONDON, C., 1917. Our Hawaii. New York, The Macmillan Co.
  • LONDON, C., 1921. The Book of Jack London. New York, The Century Co.
  • LONDON, C., 1923. The New Hawaii. Londres, Mills & Boon.
  • LONDON, J., 2002. “Joies de la plaisance”, en annexe à  La croisière du Snark. Rennes, Editions Ouest France.
  • LONDON, J. 2006.  La croisière du Snark. Paris, Phébus.
  • LONDON, J., 2007.  Histoire des îles. Paris, Phébus.
  • LONDON, J., 2008.  L’aventureuse. Paris, Phébus.
  • LONDON, J., 2009.  Jerry, chien des îles. Paris, Phébus.
  • MELVILLE, H., 1929.  Typee. Paris, Librairie des Champs-Elysées.

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